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L'art, l'utile et l'agréable.

L'art n'a aucun compte à rendre, si ce n'est à lui même. Et si, comme Théophile Gautier, on peut affirmer qu'il n'y a rien de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, c'est à travers l'émotion qu'il suscite qu'un tableau joue son rôle, véritable comédien statique, accroché à sa cimaise. Cette émotion est vecteur d'un message muet, livré aux regards, à l'éducation des yeux. L'art percute l'esprit avec violence, l'apaise comme un baume, l'interpelle comme un signal. Les artistes dont les tableaux sont présentés sur la plate-forme Artscoops à l'initiative de Carré d'Artistes Beyrouth et en partenariat avec Mon Liban d'Azur, sont tous jeunes, tous différents, tous libanais. Ombres et lumières, joie et souffrance, espoir et guerre, ils portent sur leurs toiles un regard unique et pourtant universel.

Acquérir une de leurs œuvres c'est bousculer ses sentiments, se révéler à soi-même, s'évader du quotidien, c'est partager ses propres goûts et créer du lien. Et il en faut, du lien, dans cette période difficile que nous traversons, au moment où le Liban est à nouveau confiné pour cinq jours et où le monde cherche à sortir de la crise liée à la pandémie.

Enfin, acquérir, c'est aussi investir, c'est voir la valeur des œuvres s'apprécier avec le temps, c'est encourager l'artiste dans son parcours, c'est déposer des couleurs sur ses pinceaux.

Il reste 9 jours pour découvrir les toiles proposées. Plus de la moitié a déjà trouvé preneur.

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